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neirdia bloga
29 janvier 2008

Tryo!

Je parle de tryo, et pour vous, voici des paroles de la plupart de leurs chanssons!

    Pour commence, C'est du roots, une pas mal

Kif à donf raggamuffin ruba dub
Style et ses ridims

Inspiré par tant de couleurs
Je m'imagine
Une vie stylée pour tous les
Frérots et frangines
Qui ont tellement évolués
Et ont oublié leurs racines
C'est peut-être pas une solution
mais je crois savoir ce qu'il nous faut
Nous faut ?
C'est peut-être pas la solution
mais je crois savoir quel est le mot


{Refrain:}

C'est du roots man, roots qu'il nous faut

C'est du roots woman, un retour aux racines

C'est du roots man, roots qu'il nous faut

C'est du roots qui dit roots woman
Un retour au tempo

Le progrès intégré à ton gré
A ton gré ?

Ne cesse de voiler ce que tu es en vérité
Une espèce animale
En voie de disparition
Qui a peut-être encore une chance
Si elle se pose les bonnes questions
Mais c'est pas sur Num c'que tu dis
Non c'est pas sur mon petit
Guizmo mon petit Mali
Mais c'est pas sur Num ce que tu dis
Oui mais au fond de moi j'entends ce mot

Ragga !!
Racine famine sont des mots un peu has been
Pour tout ceux qui acceptent le Babylone ridim
Mais dans tout ça la musique il faut qu'elle s'implique
C'est pourquoi Tryo se lève et fait un peu de politique
C'est peut-être pas une solution
mais je crois savoir ce qu'il nous faut
Nous faut ?
C'est peut-être pas la solution
mais je crois savoir quel est le mot

On continue en douceur avec dans les nuages

Tryo

Dans les nuages

Imagine un enfant en bas âge
Qui se baladerai dans les nuages
Qu'est qui verrai de son petit âge?
Quelle serait la forme de son voyage?
il Y aurai sûrement de belles images
2-3 souvenirs qui s'en dégagent
Et si le temps tournai à l'orage
il y aurai sa mère dans un visage
il y aurai pas d'haine, et pas de carnage
il y aurai que l'inconscience de son âge
Quelques bombecs, quelques mirages
Et le bonheur pour être en phase

Imagine Ayang Xémine
Lever les yeux de sa triste mine
Qu'est qu'il verrai dans le ciel de Chine
Pas plus penché qu'une Timyline
Verrai des milliards d'unité
Une place Tien Anmen bien cliné
Des chars, des pars de marché
Et peut être Maho pour le guider

Qu'il dégage, qu'il dégage avant l'orage
Qu'il dégage oh oh oh, qu'il dégage

Imagine un taliban
Lever les yeux sous son turban
Sûr que dans le ciel bleu d'Afghanistan
il Y aurai plus de femmes et plus d'enfants
il Y aurai comme un espèce de voile,
Un tchador noir qui cache l'âme
Quelques armées, des tonnes de larmes
Planquées dans des nuages de drames

Imagine le pire des présidents
Buch l'américain pédant
Pris dans encore un de ses moments
A divaguer au-dessus du vent
Il verrai dans ces gros trucs blancs
Tonnes de pétrole et tonnes d'argent
Mais sûrement pas le visage des gens
Gazés au nom du bon texan

Il se verrai lui le géant
Gérant le plus con des continents
Et comme le bouffon qu'il est sûrement
Il savourerai l'instant présent

Qu'il dégage, qu'il dégage avant l'orage
Qu'il dégage oh oh oh, qu'il dégage

Moi quand je regarde dans les nuages
J'voit mon gamin dans un visage
Et suite à la douceur de cette image
il Y a comme une haine qui se dégage
Voit la beauté de ce présage
Qui pourrai tourner a l'orage
Parce que le regard de tous ces nazes
N'ira jamais dans le sens des sages

Qu'il dégage, qu'il dégage avant l'orage
Qu'il dégage oh oh oh, qu'il dégage

pour la troisième, un peu plus rhytmé avec yakamonéyé, une qu'ils ont surtout fait en concerts

Qu'est ce qu'il faut faire ?
Mais qu'est ce qu'il faut faire ?
Mais qu'est ce qu'on peut faire ?
Mais qu'est ce qu'il faut faire ?
Mais qu'est ce qu'on peut faire ?
Mais qu'est ce qu'il faut faire ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter lord ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter lord ?
Qu'est ce qu'on peut faire pour court-circuiter lord ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter ?

Que faire pour court-circuiter la conspiration,
Qui fait que comme d'habitude je vis au fil des saisons ?
Filin tendu, en vue, que mes rêves soient illusions ?
J'les volerait bien pour de bon vos montages de millions,
Mais bon, y a bien ma bagnole et mon chien,
Le biberon du bébé, l'baysiter qui vient demain,
La bouffe, le loyer, la banque à rembourser,
Babylone ma bien aimée c'est pour toi que je vais bosser.

Mais bon, y a bien cette chose que j'ai en moi,
Tu ne peux pas la toucher, y a que moi qui la vois,
Vision virtuelle venant, des vent les plus lointains,
Je suis vivant et en rêvant je vois la vie comme elle vient.

Le rêve commence ... Le rêve commence ...
Le rêve commence ... Le rêve commence ...
Le rêve commence, je m'en vais vite et bien
Pas de volant : les virages négocient bien
Bien voilà que maintenant, un voilier me prend !
Et c'est toutes voiles dans le vent que je voyage a présent

Je n'ai pas vu de violence, tu as eu de la chance
Je n'ai pas vu de violence, sûrement pas en France
Je n'ai pas vu de violence, tu as eu de la chance
Je n'ai pas vu de violence, danse danse danse

Je n'ai pas vu de violence, de voiture de ville,
Et c'est en France que je poursuis mon exil,
Je vis, je vois, j'oublie les imbéciles,
Et c'est là qu'au loin j'aperçois une île ... Yes !

Très vite je m'approche, sur l'eau je ricoche,
Et pof ! J'atterris devant le sourire d'un mioche,
Dans sa main un morceau de brioche,
A côté de lui un chien qui renifle ses poches.

Ici tout est bien, quand même mieux qu'au cinoche,
L'air qu'on respire est sain personne ne roule en Porsche,

On est chez quelqu'un que je sais apprécier,
Il est dans mes rêves depuis des dizaines d'années.
On est chez mon frère, celui qui jamais nous envie,

{Refrain:}
Celui qui aime la terre, l'eau, qui a les enfants pour amis,
Lui il sait se taire, on écoute ce qu'il dit,
Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparaît le mépris.
L'humour est son petit frère, l'amour son aîné,
Son nom représente la terre : il s'appelle Yakamoneye !
Chez Yakamoneye, nan nan, y a pas de monnaie,
Y a pas barbelés, pour t'empêcher d'entrer,
Y a pas mal de mouflets, chez Yakamoneye,
Un peu de sinsé, beaucoup de liberté !
Quand est-ce qu'on va manger, mais qu'est ce qu'on va planter,
Y a pas de quoi s'inquiéter, nan nan ! chez Yakamoneye
Y a pas de monnaie (barbelé) chez Yakamoneye
Y a pas mal de mouflets, et c'est bien les mouflets

Je rêve ... Je rêve ... Oh oui, je rêve, je fais que ça,
mon frère, tu voies.
Je rêve ... Je rêve ... Je rêve ... Je rêve ...
Je rêve ... Je rêve ... Je rêve ... Emmène nous avec toi !

Je rêve, oh oui mon frère, ça vaut tous mes mois de salaire,
Ma couette c'est le repère où je mène une vie pépère.
J' libère le monde amère, et même si je reste fière,
J'aurais du mal à refaire tout ce qu'il va de travers,
Alors j'traverse les océans, pour trouver ce monde d'enfants,
Fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments,
J'y reste quelques temps, tant que je peux y rester,
Et quand le réveil sonne j'ai l'énergie pour lutter.
Car j'ai été chez mon frère, celui qui jamais nous envie,

{au Refrain}

{en canon:}
Que faire que faire ... pour court-circuiter
Je rêve ... Je rêve ... Faut rêver tu vois je rêve...

Je rêve, oh oui mon frère, ça vaut tous mes mois de salaire,
Ma couette c'est le repère où je mène une vie pépère.
J' libère le monde amère, même si je reste fière,
J'aurais du mal à refaire tout ce qu'il va de travers,
Alors j'traverse les océans, pour trouver ce monde d'enfants,
Fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments,
J'y reste quelques temps, tant que je peux y rester,
Et quand le réveil sonne j'ai l'énergie pour lutter.
Car j'ai été chez mon frère, celui qui jamais nous envie,
{au Refrain}

Chez Yakamoneye ... Chez Yakamoneye .........

 

Alos, la suite est asser connu, surtout vers leurs début, et elle est revenu à la mode vers 2005

Tryo

L’hymne de nos campagnes

Paroles et Musique: Tryo   1997 "Tryo Mamagubida"


Si tu es né dans une cité HLM
Je te dédicace ce poème
En espérant qu'au fond de tes yeux ternes
Tu puisses y voir un petit brin d'herbe
Et les mans faut faire la part des choses
Il est grand temps de faire une pause
De troquer cette vie morose
Contre le parfum d'une rose

{Refrain:}
C'est l'hymne de nos campagnes
De nos rivières, de nos montagnes
De la vie man, du monde animal
Crie-le bien fort, use tes cordes vocales!

Pas de boulot, pas de diplômes
Partout la même odeur de zone
Plus rien n'agite tes neurones
Pas même le shit que tu mets dans tes cônes
Va voir ailleur, rien ne te retient
Va vite faire quelque chose de tes mains
Ne te retourne pas ici tu n'as rien
Et sois le premier à chanter ce refrain

{au Refrain}

Assieds-toi près d'une rivière
Ecoute le coulis de l'eau sur la terre
Dis-toi qu'au bout, hé ! il y a la mer
Et que ça, ça n'a rien d'éphémère
Tu comprendras alors que tu n'es rien
Comme celui avant toi, comme celui qui vient
Que le liquide qui coule dans tes mains
Te servira à vivre jusqu'à demain matin!

{au Refrain}

Assieds-toi près d'un vieux chêne
Et compare le à la race humaine
L'oxygène et l'ombre qu'il t'amène
Mérite-t-il les coups de hache qui le saigne ?
Lève la tête, regarde ces feuilles
Tu verras peut-être un écureuil
Qui te regarde de tout son orgueuil
Sa maison est là, tu es sur le seuil...

Pour la suite, on reprend le rythme, et on va asser vite, voici g8

Tryo

G8

2003


J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards qui m'soulent, huit lascards qui m'soulent
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai envie d'me sevrer, ouais
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards qui m'soulent, huit lascards qui m'soulent
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai envie d'en parler.

J'ai ouï dire qu'notre av'nir, c'est des Berlusconi, des Bush, des Yang Tsé Ming, des Macdo, des industries.
Des dollards, des euros, des actions qu'on investient, des politicos pourris qui pensent au nom du profit.
J'ai ouï dire qu'notre présent c'est notre avenir, si c'est ça nos gouvernements alors y'a plein de choses a dire.
Ils sont dans la cour des grands, qui va bientôt rétrécir, parce que d'vant y'a des gens qui veulent vivre et sourire.

J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards qui m'soulent, huit lascards qui m'soulent
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai envie d'me sevrer, ouais
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards qui m'soulent, huit lascards qui m'soulent
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai envie d'en parler.

J'ai, j'ai, j'ai pas peur pour mon gosse, j'irais à leur sommet montrer mon peuple et sa force.
Attaquer d'un essai, qui fait peur à vos négoces et qui pourrait bien ruiner vos espoirs et vos forces.
J'ai, j'ai, j'ai pas peur pour mon gosse, j'suis pa l'seul à en avoir fait, au travers d'un monde féroce.
Y'a pas d'ambiguité, maintenant qu'il est né, j'peux pas l'laisser évoluer dans un tel merdier.

J'ai, j'ai, une mauvaise nouvelle, c'est vous qui avez le nez dans vos poubelles.
Et même si y'a gène, vous matraquer les rebelles, à notre envie de lutter il pousse des ailes.
J'ai, j'ai une mauvaise nouvelle, le boursicotage tient avec des ficelles, et quand ça va casser,
On va être là pour regarder, vos gueules s'écraser d'un trait sur le pavé.

J'ai une bonne nouvelle, on va boycotter en force et faire des étincelles.
Belle est l'amitié, oh oui qu'elle est belle, belles sont les idées, oh oui qu'elles sont belles.
J'ai une bonne nouvelle, on va boycotter en force et faire des étincelles.
Belle est l'amitié, oh oui qu'elle est belle, belles sont les idées, oh oui qu'elles sont belles.

J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards qui m'soulent, huit lascards qui m'soulent
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai envie d'me sevrer, ouais
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards

J'ai, j'ai, j'ai, j'ai huit lascards qui m'soulent, huit lascards qui m'soulent
J'ai, j'ai, j'ai, j'ai envie d'me sevrer, ouais

   

Pour finir en beauté, sortez les, qui est une de mes préferés

Donnez nous des jeux
Les plus malsains, oh oui j'en veux
Allez enfermez-les, enfermez-les
Jusqu'à c'qu'ils ne puissent plus respirer
Qu'on les voit mourir
Ejectés lynchés pour le pire
La cage au milieu du salon
Aime à voir les fauves tourner en rond
Et se déchiqu'ter pour juste une poignée de fric
Rentrer dans le moule de l'Amérique
Allez saignez vous donc en musique

Donnez-nous du lisse
De la guimauve etdu réglisse
Donnez de l'image à bouffer
Pré-mâchée et pré-digérée
Donnez-nous du vice
Surgelez nos vieilles idées
Vive mon frigo vive ma télé
Il est plus vide qu'elle est blindée

{Refrain:}
Sortez-les sortez-les sortez-les poubelles!
Sortez les ordures télévisuelles!
Sans télé sans télé sans télé!
Oh ciel!
Oh non je suis accro!

Elatez les maille
Montrez qu'y a qu'la tune qui vaille
Noyez-nous de publicités
Engraissez-nous jusqu'à éclater
Mettez-nous les nerfs
Etalez les femmes et lerus chairs
Blindées des plus beaux apparats
Excitez-nous excitez nous plus que ça
Amenez vos sponsors
A tout bout de champ ça pue la mort
Gerbez nos envies nos désirs
Empêchez-nous empêchez-nous de partir

Donnez-nous du vice
Bouchez les escaliers de service
Allez séquestrez nos esprits
Et souriez tout est permis
Tirez vers le bas
ma télévision adore ça
Et tous les meubles en sont jaloux
Même mon chiotte ne est devenu fou

{au Refrain}

Donnez-nous du pire
Réservez-vous pour l'avenir
Conservez votre mauvais goût
Pour les jours où vous s'rez à bout
Donnez-nous du pire
Passez notre envie de réfléchir
A coup de concepts débilissimes
Allez crachez-nous vos millésimes

Donnez-nous des cons
Servez les cockés ou bien ronds
C'est le zoo des animateurs
Leur donnez pas d'bouffe c'est pas l'heure
C'est l'heure de sourire
Servir d'la niaiserie à mourir
A nous goinfrer à nous gaver
C'est pour nous
C'est pour nous divertir
Donnez-nous d'la meuf
Décolorez-les en jaune d'oeuf
Allez souriez-moi souriez-moi
Et faites gicler vos proies

{au Refrain}

Donnez-nous des stars
De celles qui crachent dans leur bavoir
Et filmez leurs fêtes minables
Au fin fond de leur bac à sable
Et lâchez vos bombes
De celles qui sont nauséabondes
Inondez nos vies nos foyers
Vous êtes si présents qu'on est teubé

{au Refrain}

Plus tard, je vais reposter des clips d'eux.

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